RAPACES — Un polar tourné en Isère et en Savoie signé Peter Dourountzis

^{Jean-Pierre Darroussin et Mallory Wanecque, sur le tournage à Chambéry ©Noémie Vieillard}

Une enquête bouleversante

Peter Dourountzis a été révélé à Cannes en 2020 avec son premier long-métrage, VAURIEN, portrait d’un meurtrier-vagabond incarné par Pierre Deladonchamps. Le réalisateur revient avec un nouveau polar, tourné en région et coproduit par Auvergne-Rhône-Alpes Cinéma : RAPACES. Ce long-métrage raconte l’histoire de Samuel, journaliste, et Ava, sa fille et stagiaire. Pour leur magazine, père et fille couvrent le meurtre d’une jeune fille attaquée à l’acide. Frappé par la brutalité du meurtre et encouragé par l’intérêt de sa fille pour l’affaire, Samuel décide de mener une enquête indépendante à l’insu de sa rédaction et découvre des similitudes troublantes avec le meurtre d’une autre femme…

Pour ce nouveau film policier, le réalisateur s’est entouré d’une troupe de comédiens et comédiennes chevronnée. Dans les rôles du duo père-fille, le cinéaste met en scène Sami Bouajila (ROUGE, 2022) et Mallory Wanecque (PAS DE VAGUES, 2024), et à leurs côtés Jean-Pierre Darroussin, Valérie Donzelli, Andréa Bescond et Stefan Crepon.

« Le genre du thriller nous donne un point de départ et un point de sortie », indique le réalisateur « mais ce qui est intéressant c’est le chemin pour aller du début à la fin« .
Les spectateurs découvriront d’ici quelques mois le chemin que le réalisateur leur aura proposé d’emprunter…

^{Valérie Donzelli ©Noémie Vieillard}

Un nouveau thriller tourné en Isère et en Savoie

Pour son cinquième long-métrage, Peter Dourountzis a choisi de poser sa caméra en région Auvergne-Rhône-Alpes. Du 3 au 17 juin, l’équipe du tournage était en Isère. Certaines scènes ont notamment été filmées au tribunal de Grenoble et à la gare de Grenoble-Universités-Gières. Le tournage a ensuite eu lieu du côté de la Savoie, à Myans, Bassens et Chambéry.

Le tournage se poursuit actuellement en région parisienne.

^{Sur le tournage du film à Grenoble ©Noémie Vieillard}